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 Firemen's Ball Feat Lucy

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AuteurMessage
Tori Miller
Tori Miller
New-yorkaise
Métier : Serveuse/danseuse et chanteuse au pays des merveilles
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MessageSujet: Firemen's Ball Feat Lucy   Firemen's Ball Feat Lucy EmptyMer 28 Aoû 2024 - 12:33

Firemen's Ball Feat @Lucy Orchent

Aujourd’hui en ce beau 4 juillet, j’avais promis à la caserne de Freddie et de Seb de chanté pour le bal des pompiers, mais aussi pour l’œuvre de charité qui aurait lieu en même temps pour le coup. J’avais hâte d’y participé, j’avais composé une nouvelle chanson pour l’occasion et ça serait la première fois que les gens l’entendrons en dehors de Pascal mon serpent. J’étais cependant stressée, car cela serait une première pour moi de chanter devant un vrai public et pas devant des clients du bar ou je bosse, qui préfère largement me voir à moitié me déshabillé que de chanter, mais bon au moins, je peux chanter et danser, ce que j’aime faire par-dessus tout.

Ce soir, pour l’occasion, j'ai décidé de mettre une robe simple bleu clair à fine bretelle, je sais que Freddie n’aimera clairement pas ma tenue, car je ne porte pas de soutien-gorge, mais bon, c'est une robe de créateur que j’ai eu dans une friperie et que j’ai fait retoucher pour qu’elle m’aille à la perfection. Je me maquille ensuite légèrement et je me regarde dans le miroir, mes cheveux noirs font ressortir mes yeux et aussi mon regard quelque peu triste que je peux avoir parfois… mais que je cache toujours derrière des grands sourires.

Depuis le départ de Zac, les choses sont un peu plus compliquées pour moi, il était mon pilier et je n’ai plus cela, le groupe a fini par se dissoudre, progressivement, l’un pris par ses études, l’autre par sa carrière et il y a moi toujours présente, mais qui est seule maintenant… Cela me fait très bizarre, je dois le reconnaitre, mais j’essaie d’avancer doucement sans eux.

Je me regarde une dernière fois dans mon miroir avant de partir pour la caserne rejoindre les garçons. Je les salue rapidement avant de partir me chercher un verre, car je suis quelque peu nerveuse, alors que j’avance tranquillement, je finis par rentrer dans une personne.


- Excusez-moi, je ne faisais pas attention où j’allais.

Je relève la tête et je tombe sur Lucy Orchent, une femme très célèbre dans le monde de la musique, mais pas que. Je deviens rouge comme une tomate.

- Vraiment désolée Madame Orchent, je n’ai pas renversé votre verre ou abimé vos vêtements??

Voilà que je rentre dans une de mes idoles et que je lui ai peut-être foutues en l’air sa tenue de la soirée.

KoalaVolant
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Lucy Orchent
Lucy Orchent
The Lucky One
Métier : Chanteuse, Comédienne musicale, Comique de scène, Musicienne, Ingénieure décoratrice, Productrice et Organisatrice de Spectacles et de Festivités, Directrice de The Lucky One, Egérie d’OBIF, Bénéficiaire du Club de Londres, membre du conseil d’administration et actionnaire de Orchent Trustee
Orientation : Homosexuelle
Messages : 18
Points : 27
Date d'inscription : 10/08/2024
MessageSujet: Re: Firemen's Ball Feat Lucy   Firemen's Ball Feat Lucy EmptySam 31 Aoû 2024 - 7:08

Firemen’s ball

Jeudi 04 juillet 2024
Faire partie d’une association caritative est normal, même si cela passe principalement par des dons monétaires à visée de placements ; afin que l’argent donné ne soit pas consommé mais bien investi pour générer de l’argent destiné à la consommation. La difficulté aux Etats-Unis d’Amérique reste de trouver de véritables associations caritatives. Le pays de l’entreprenariat n’a pas, à mon sens, de services publics mais bien des entreprises publiques. Le système de santé n’a pas de patients mais plutôt des clients et son objectif est, comme tout autre, la génération de dividendes pour ses actionnaires. C’est pour cela que les prix des médicaments comme des soins sont exorbitants et que se sont les assurances, d’autres entreprises qu’il faut donc contracter au cas où il y ait un problème et dont les tarifs varient selon les probabilités qu’il y ait un problème, qui sont le plus souvent en mesure de payer les frais médicaux ; sous réserve que les personnes aient les bonnes assurances pour leurs besoins. Le pire étant que les hôpitaux ont le devoir de refuser les gens dotés des mauvaises assurances ou incapables de payer puisque la loi leur impose la même rentabilité qu’aux entreprises normales. Je comprends bien que le système de santé ait grandement besoin de la charité privée mais je préfère donner la mienne à quelque chose de plus pur et innocent. Non, certainement pas le système éducatif ; c’est pire encore que celui de santé ! Financé par la Mairie de New York City, le FDNY est réellement à but non-lucratif et le fait qu’il puisse faire les EMS, Emergency Medical Services ou aide médical urgente, a fini de me convaincre que c’était le mieux où je puisse donner. Son quartier général est au 9 MetroTech Center à Brooklyn, dans le Brooklyn Commons. C’est là-bas que s’est faite la donation et c’est là-bas que s’est faite l’invitation à l’un des bals de pompiers organisés au sein de l’une de leurs casernes pour leur fête nationale.

Equipé d’une cravate et ayant boutonné son costume gris pour l’occasion, enfin passé un bouton sur les deux parce qu’il ne faut pas exagérer non plus, Nathan me tient la porte de la limousine louée pour l’occasion. Malgré que mes escarpins à talon portent ma taille au mètre huitante, l’athlétique ancien militaire au visage large entouré d’une pilosité aussi courte pour les cheveux que la barbe continue de me dépasser d’une demi-douzaine de centimètres. Son regard ne me suit pas alors qu’il recommence à observer les environs pour faire son travail sans pour autant cesser de me tenir la porte. Je prends appuis pour sortir du véhicule, regardant à mon tour alors que les premiers regards se tournent vers ma chevelure rousse ondulée et ma robe de velours bleu à manches chemisier, jambe gauche fendue et décolleté en V avec renfort en tulle. Mon visage sculptural, uniformisé au fond de teint, se pare d’un sourire aussi bien présent sur ma bouche couverte de rose à lèvres que dans mes yeux parés d’eye-liner et de mascara. N’ayant avancé que d’un pas pour gêner ma paire de deux, je prends le temps de m’étirer le buste en écartant les bras sur le côté avant de reprendre mon avance. Derrière moi s’extirpe un autre homme plus grand encore que le précédent et habillé à la mesure : costume trois pièces noir et cheveux bruns brossés en crinière lui tombant sur l’encolure. Son visage a un nez proéminent et un grand front. Enzo laisse mon premier deux pousser la porte de la voiture pour que la première se referme et que la seconde puisse partir se garer alors que l’on commence à avancer avec la technique habituelle du bain de foule. Nathan se place à mon côté, légèrement en avant, et pose une main dans mon dos tandis que l’autre s’en va essayer de canaliser la foule tout en faisant le tri entre les gens qui passeront dans son dos à lui et ceux qui se retrouveront un instant face à moi, mon sourire et les deux mains que je tends pour serrer l’une des leurs selon une technique inspirée de celle d’Arnold Schwarzenegger.

« Bonjour, comment allez-vous, demande-je avec un sourire aimable avant d’écouter la réponse tout en échangent une poignée de main énergique. Vous êtes magnifique, poursuis-je avant que Nathan me tape sur l’épaule de la main qu’il a placée dans mon dos. Excusez-moi, souris-je en secouant une dernière fois la main présenté par l’inconnu que je m’en vais lâcher pour passer au suivant. Bonjour, comment allez-vous ? »

Le manège continue jusqu’à ce que j’ai traversé la foule. Enzo reste un pas derrière nous, prêt à éconduire quelqu’un qui se voudrait insistant d’un sourire charmeur et d’un accompagnement de ses deux mains. Même s’il est loin d’avoir les aptitudes physiques de Nathan, il n’en reste pas moins suffisamment grand et entretenu pour pouvoir être impressionnant. Les choses se passent donc bien, en général. Merci ma Chance, c’est le cas ce soir aussi ; sans doute aidé par le fait que je ne sois pas l’attraction de cette soirée. Les pompiers et leur bal le sont.

Je dois avouer ne pas trop savoir à quoi m’attendre. La première découverte est que le mot "ball" ne signifie pas que "balle" en anglais mais également "bal". La seconde, à venir car mes recherches ne m’ont pas permis de le découvrir, est de savoir si l’on serait sur un véritable banquet suivi d’une dance de société ou si l’on tendra plus vers la discothèque en plein air voire le concert. Les seuls concerts auxquels je me rends étant les miens et les boites de nuit étant des refuges un peu trop populaires pour moi, ma préférence est vite choisie comme ma robe en témoigne. Après, je suis assez intelligente pour m’adapter : suivre les guirlandes qui délimitent les passages, identifier les tentes qui accueille les bars, repérer les tables pour s’assoir et la scène où me pointe l’envie de m’y pointer, analyser le public pour déduire qu’il s’agit probablement des gens du quartier et des proches des pompiers préférant être ici que dans d’autres festivités qui risquent de mobiliser en urgence les urgentistes ainsi que les urgentistes eux-mêmes dont l’officier de caserne qui doit recevoir la donation. Pour ce dernier, il n’y a nulle tape dans mon dos de la part de Nathan ; seulement trois poignées de mains, une pour chacun.

La discussion avec le chef bien occupé ne saurait durer longtemps, puisqu’il est bien occupé justement, ainsi l’invitation à s’amuser est renouvelée rapidement et acceptée avec un sourire franc.

« Comme d’habitude, interroge Enzo une fois que l’on a quitté la fosse et développé un bon point d’observation sur celle-ci.

- S’il-te-plait, confirme Nathan, toujours aussi observateur que moi mais pas pour les mêmes raisons.

- Il me plait, confirme-je à ma paire de deux tout en regardant le premier avec mon sourire fin. Merci. »

Mon avocat s’en va à l’achat d’un jus de citron pressé de préférence, d’une bière ambrée et d’un coca. Il ne lui faut pas cinq minutes pour revenir avec et je les passe à discuter avec ceux qui viennent à moi, ouverte et agréable comme il se doit ainsi que flegmatique et indépendante comme il le faut.

Main droite sous le coude gauche et main gauche tenant mon verre de jus qui accompagne mes dires, je continue la discussion jusqu’à ce qu’elle soit interrompue par une personne me faisant du rentre dedans au premier degré. Ce n’est pas des plus violents comme choc mais c’est surprenant et Nathan réagit immédiatement pour venir s’interposer, là où je me contente de me retourner vers l’origine de l’imprévu.

Il faut toujours commencer par regarder les pieds car ils sont la zone la plus difficile à maquiller. Je remonte ensuite le long d’une robe d’un bleu clair et d’un design probablement fait sur mesure ; bien qu’elle semble rester simple malgré tout. Et légère. Les cheveux noirs qui lui tombent dessus contrastent avec la peau claire sur laquelle ils le font, tomber, et renvoient à la mise en valeur d’yeux vert qui risquent d’eux aussi contraster avec le rouge qui monte aux joues pour accompagner ce qui, à vue de nez et d’yeux qui se plissent pour observer, pourrait être un début de panique. J’ai entendu les excuses et écouté les inquiétudes ainsi je partage les secondes et vérifie donc le contenu d’un verre de jus de citron, boisson choisie pour son amertume qui évite de le boire trop rapidement en soirée, puis de ma robe de soirée dont l’appréciation du contact avec un liquide serait probablement équivalente à mon opinion du système de santé américain.

« Merci ma Chance, commence-je après ma vérification et en lançant un bref regard à mon garde du corps à mi-temps pour souligner qu’on était pas sur le bon horaire comme pour qu’il cesse de s’interposer, le fait de parler à l’italienne garde le verre loin de la robe. »

Aucun dégât à déplorer chez moi, donc. En revanche, chez la personne avec qui je parlais et vers qui je me tourne à présent…

« Désolée également, conclus-je au pauvre heurt que le travail d’équipe avec l’inconnue m’a amené à arroser. Vous lui enverrez les frais de pressing. »

Ma plaisanterie flegmatique, si s’en est une et je laisse le suspense sur ce point, est superflue puisqu’un peu de jus ne saurait entamer la bonne humeur du soir. Mon interlocuteur précédent s’excuse néanmoins puisqu’il doit aller se rincer et nous laisse, ma paire de deux et moi, en compagnie de l’autre jeune adulte.

« Par contre, "madame" c’est ma mère, reprends-je avec amusement tout en tendant ma main droite vers l’anonyme qui ne va bientôt plus l’être. Je vous en prie, appelez-moi mademoiselle Orchent. Et vous êtes ? »

Je tends une unique main, la seconde étant prise par mon verre, vers mon interlocutrice afin de lui offrir une poignée de main énergique et ferme.

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Tori Miller
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MessageSujet: Re: Firemen's Ball Feat Lucy   Firemen's Ball Feat Lucy EmptyLun 16 Sep 2024 - 4:56

Firemen's Ball Feat @Lucy Orchent

Je crois que le 4 juillet est une de mes fêtes préférées… Ce n’est pas ma préférée, car ma préférée, c'est Halloween, mais elle fait partie des 5 premiers : La première est Halloween, ensuite Thanksgiving, le 4 juillet, Noël et en dernier, c'est le memorial Day… Et oui mon anniversaire n’est pas dedans et Noël et aprés le 4 juillet, avant, c'était l’inverse, mais depuis que Freddie fait partie des pompiers, ce jour à une place particulière dans mon cœur, car c’est un jour important pour eux. Tous les ans il y a le bal des pompiers qui les aides a récolté des fonds pour différente association, ou pour eux quand ils ont besoin de matériel spécial. Une année, je crois que c’était parce qu’un de leurs camions était trop vieux et que la mairie ne pouvait pas leur en offrir un neuf, celui qui leur proposait était plus vieux que le leur encore… autrement dire, il pouvait risquer de tombé en panne à n’importe quel moment lui aussi… Donc bal des pompiers, vente de gâteau en tout genre et plein de petit truc comme ça, je devais avoir 14 ans à l’époque et j’ai beaucoup aidé. Tout le monde me connait à la caserne, je suis un genre de mascotte pour eux, je crois, on a même déjà essayé de me recruté pour faire partie de leur unité, mais j’ai toujours refusé, je sais que Freddie ferait une crise cardiaque, vu comment mon grand frère et ultra-protecteur envers moi, c’est d’ailleurs pour ça que je ne lui dis pas pour l’urbex.

Mais pour l’heure pas d’urbex, mais une robe de couturier trouvé en friperie et des talons haut, je vais chanter sur la scène pour aider encore plus à récolter des fonds pour les familles du quartier qui n’ont pas beaucoup les moyens, je déambule entre les personnes, en saluant certaine personne que je n’ai pas vue depuis des mois, voir 1 an, car on ne les voit que pendant le bal. Je rigole avec les collègues de mon frère, je crois qu’il y en a 1 qui me drague, il doit être un peu plus vieux que moi, mais je sais que cela ne fonctionnera pas entre nous, parce qu'il est pompier et je ne veux pas mourir d’inquiétude à chaque seconde, c’est déjà parfois ce qu’il se passe avec Freddie et Seb alors non, je ne sortirais pas avec un pompier, pourtant je rigole avec lui et je réponds un peu à sa drague, mais loin des yeux de mon frère et de son meilleur ami, car je les connais, c'est deux-là.

Je finis par me diriger vers la scène, surement un peu trop précipitamment, parce que je finis par rentrée dans quelqu’un, je m’excuse de façon assez banale et puis en relevant les yeux, je tombe sur Lucy Orchent, cette femme est un peu comme une idole pour moi, je me sens vraiment cruche, je lui présente mes excuses platement, je lui demande si je n’ai pas abimé ses vêtements, qui je me doute son fait sur mesure et qui n’ont pas le même prix que la robe de friperie que je porte sur moi, malgré le fait que ce soit une robe de haute couture de quelques années en arrière. Un homme, c'est mis entre Madame Orchent, je me doute que c’est son garde du corps.


- Vraiment désolée… Je n’ai aucune excuse.

Elle s’excuse auprès de la personne qui a eu sa boisson sur elle et puis elle me regarde alors que je suis rouge comme une tomate et que j’aimerais être une souris pour me cacher dans un trou et ne plus jamais en sortir. Elle me tend une main et je la regarde avant de la prendre et de la serrer. Bordel Tori reprend toi.

- Enchantée mada…moiselle Orchent, je m’appelle Tori Miller.

Je garde sa main un peu trop longtemps dans la mienne avant de la lâcher et de la remettre le long de mon corps.

- Je m’excuse encore de vous avoir bousculée, je ne faisais pas attention à ou j’allais…

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MessageSujet: Re: Firemen's Ball Feat Lucy   Firemen's Ball Feat Lucy Empty

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