Les groupes

À New York, les habitants sont classés dans des groupes d'individus différents. La personnalité, le but, les valeurs, les intentions, tout ça sont des facteurs qui peuvent influencer le choix du groupe dans lequel votre personnage sera. Voici donc la description au sens large de chaque groupe, afin de vous aider à bien faire votre choix.

Nous retrouvons ici ceux qui se tiennent dans les hautes sphères de la société. Les fronts de page, les dirigeants, les influents. Ceux qui ont de l'argent, qui le savent, et surtout, qui s'en servent. La façon de faire ? Qu'importe que ce soit pour satisfaire leur propre ego, pour cacher les squelettes dans le placard ou au contraire pour aider les autres. Ils ont un rôle important à jouer, qu'il viennent de familles new-yorkaises connues ou qu'ils aient gravi tous les échelons pour en arriver là. Ils sont les représentants de l'American Dream.

Qu'importe leur richesse ou leur catégorie socio-professionnelle, ici, nous avons les gens soudés. Connectés socialement ou virtuellement, la famille et les amis, c'est ce qui compte le plus au monde ! Vous savez, c'est le pote qu'on appelle en galère, celui qui répondra même à trois heure du matin. C'est la voisine qui prend toujours des nouvelles, et qui accepte gracieusement de garder les enfants ou de nourrir le chat. L'important, pour eux, c'est d'être entourés.

Ici, c'est la place des électrons libres. Boulot, compte en banque, famille, amis... bien-sûr que c'est important, mais tout ça peut changer si vite ! La vie est courte, il faut en profiter ici et maintenant. Les autres, ce sont des potes, des collègues, des gens avec qui on rigole bien, pour passer du bon temps. La famille, c'est pour les fêtes et rappeler de temps en temps qu'on les aime. Le reste du monde ? Tout est à faire, tout est à voir ! On se reposera quand on sera mort !

Et voilà les bas-fonds. L'American Nightmare. Nés dans la merde, ou simplement détruits par la vie. C'est la lutte quotidienne. Qu'importe d'où ils viennent, c'est là qu'ils se retrouvent, usés, marqués par leur histoire qui ferait pâlir les plus robustes. Ici, on ne croit plus en rien, sauf peut-être à l'enfer, puisqu'on y est. Et tout ça, c'est la faute des autres.