Adrien O'Connor - Que puis-je faire pour vous ?

† nom : O'Connor  † prénom(s) : Adrien † Surnom(s) : Le Négociant, L'Irlandais † date de naissance : 12 décembre 1980 † lieu de naissance : Irlande † Origines : Irlandaise † quartier de résidence : Manhattan † métier(s), occupations : Officiellement, propriétaire de quelques bars et clubs dans Manhattan, mais officieusement, je suis le Négociant. † orientation sexuelle : Hétéro † groupe : Empire State Building

On me traite de criminel, me considère comme un méchant, mais je ne suis rien de tout ça. Je suis loin d’être parfait, mais personne ne l’est, au fond, n’est-ce pas ? Ce qu’on me reproche, c’est de faire le sale boulot des autres, des faibles, des trouillards qui ont peur d’échouer. Moyennant un bon prix, je réalise les rêves des plus rêveurs et je règle les problèmes des plus désespérés. Ils ont quelque chose à me donner, et je donne quelque chose en retour. Je suis un négociant.

Attention à ne pas me décevoir. Un marché, c’est mutuel. Si je remplis ma part du marché, je m’attends à ce que vous fassiez de même. Si vous me décevez, vous en paierez les conséquences. Je ne joue pas quand il s’agit de ma paie, que ce soit en argent ou en service. En revanche, respectez votre part du marché et nous n’aurons aucun problème. Je suis un homme de parole, un homme honorable. Je manque de respect quand on en manque envers moi. Je traite les autres comme ils méritent d’être traités. Je n’ai rien, mais absolument rien à me reprocher, dans la vie.

Au fond, ce qu’on me reproche le plus, c’est d’avoir réussi dans mon domaine. Je réussis tellement que bien que malgré mes activités criminelles, je n’ai jamais vu un seul membre des forces de l’ordre arriver à me faire arrêter. Je sais calculer trois coups d’avance sur les autres. Je suis observateur et calculateur, voire même manipulateur. Je n’aime pas non plus me faire dire non et je suis excellent pour faire chanter les autres. On me refuse rarement quoi que ce soit. C’est plus prudent aussi, car vous pourrez me décevoir une fois, mais pas deux. Trouvez le point faible de quelqu’un et il sera à votre merci, comme un pantin. C’est du business. Sans rancune.

Je suis né avec, comme qui dirait, une cuillère en argent dans la bouche. Mon père était haut placé dans la société, non seulement à cause de son entreprise, mais surtout à cause du blanchiment d’argent qui était son occupation nocturne. Ma mère, femme grandement respectée, a décidé de fuir l’Irlande quand mon père fut assassiné devant nos yeux, alors que j’étais âgé de 15 ans, après avoir déçu un de ses clients. Nous avons pris l’argent restant et nous sommes partis sans regarder derrière nous, sans même prévenir le reste des O’Connor que constituaient notre famille. J’ai vite comprit à ce moment-là qu’il vaut mieux être le dominant, plutôt que le dominé. J’ai décidé, ce jour-là, que je ne me mettrais jamais à genoux pour aucun être humain.

J’ai fait la rencontre d’un homme que j’ai alors vu comme un second père, un homme qui m’a aidé à devenir l’homme que je suis aujourd’hui. Le crime paie plus, dit-on. J’ai rejoint ce criminel qui m’a traité comme un fils. Je n’ai eu, ou presque pas, à me salir les mains. Ses hommes le faisait pour lui. Je n’avais jamais tué. J’avais une arme, mais mon mentor m’a toujours interdit de tuer. J’ai passé d’excellentes années auprès de lui. C’était un homme de coeur, un homme qu’on respecte et qui respecte en retour. Je voulais devenir comme lui. Je voulais être respecté. Je me suis fait ma réputation au fil des années. Personne n’osait me défier, me manquer de respect. Sauf un imbécile…

J’avais 32 ans. Mon mentor se faisait vieux et il était désormais la seule figure parentale que j’avais, quand un homme l’a tué devant mes yeux. Un idiot. Un traître. Et les traîtres, je les bouffe tout cru. Dimitri a levé son arme vers l’homme pour faire le travail. Il avait l’habitude lui de se salir les mains. C’était ça sa principale tâche dans l’organisation. Mais je l’ai arrêté. Immédiatement au moment où mon mentor est mort, il m’a considéré comme son nouveau leader et a respecté ma demande. Il a baissé son arme et j’ai levé la mienne. Et j’ai appuyé sur la détente.

Le meurtrier de mon mentor fut le premier homme que j’ai tué.

Dans les jours suivants, tout le monde de l’organisation me considérait comme leur nouveau chef, l’héritier de l’ancien. Depuis, c’est moi qui les dirige. On vient me voir pour que je règle les problèmes des autres, pour que je réalise leurs rêves, que je m’occupe de punir quelqu’un à leur place, moyennant toujours un prix. On m’appelle le Négociant, voire même l’Irlandais. Ce sont des surnoms qui sont venus naturellement et ces surnoms se font connaître même en dehors de la ville.

Alors dites-moi. Que puis-je faire pour vous ?

† Pseudo(s) : Astrithr
† Âge : Bientôt 29
† Pays : Canada
† Comment as-tu connu le forum : Je suis fonda
† Fréquences de connexions : Presque tous les jours
† Commentaire(s) :

† Pour le bottin :

Code:

<pris>Tom Ellis</pris> † Adrien O'Connor

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